Les différents types de NFT

Les différents types de NFT

Illustration des différents types de NFT

Quels sont les différents types de NFT à ce jour ?

Nous sommes face à une question dont la réponse est aussi intéressante que complexe.

En effet, même s’il apparaît facile de lister les différents types de NFT bien connus, l’exercice devient bien plus compliqué lorsque l’on cherche à allonger cette liste. Car un NFT précis est susceptible d’appartenir à plusieurs catégories, et donc d’entrecroiser celles-ci.

Oui, les NFT sont transverses. Et c’est là tout l’admirable potentiel de cette technologie numérique.

Nous allons aborder dans cet article une liste non exhaustive, mais néanmoins représentative, des catégories de NFT existantes à ce jour :

  • Artwork
  • Collectibles
  • Jeux vidéos
  • Métavers
  • Noms de domaine
  • Musique
  • Utilitaires
  • Évènementiel
  • Identité
  • Memes

Avant toute chose, si jamais vous n’êtes pas encore familier avec la notion de Non-Fungible Token (NFT) je vous recommande vivement mon article introductif :

👉 NFT : Définition et explications 👈

Artwork

Une des catégories les plus évidentes : l’Artwork. Cela regroupe ici l’art numérique au sens large du terme, celui des œuvres digitales « peintes » ou « dessinées ».

On peut citer en exemples le fantasy art, le digital painting, les dessins numériques, les œuvres en 3D ou encore la réalité virtuelle et la réalité augmentée.

L’art digital et ses artistes existent depuis déjà longtemps, du moins à compter de l’avènement des ordinateurs. En revanche les notions d’unicité et de propriété numérique ne sont réellement « palpables » que depuis la création de la technologie blockchain, des smart contracts et plus précisément des NFT’s.

Et la révolution se joue notamment du côté des artistes. Car même s’ils pouvaient (durement) en vivre avant la blockchain et les NFT’s, ce sont bel et bien ces nouvelles technologies et ce nouveau marché ouvert qui leur ouvre la voie de l’indépendance.

NFT Artwork Humming Dragon de android jones
Humming Dragon | NFT Artwork de l’artiste @android_jones | vu sur SuperRare

Collectibles

La catégorie NFT qui fait le plus parler d’elle actuellement, sans aucun doute.

Pourquoi ? Car cette catégorie de NFT génère des volumes de transactions exorbitants, autant à l’échelle totale qu’à l’échelle unitaire.

Nous allons voir pourquoi, mais d’abord que sont les NFT’s collectibles ?

Les NFT’s collectibles peuvent prendre plusieurs formes, la plus vue aujourd’hui est celle des collections de dessins numériques de personnages ou objets, générés aléatoirement via une programmation. Ces créations aux attributs aléatoires, et donc plus ou moins rares, forment ensuite les spécificités de la collection.

Lors de la release ou du drop, on mint un ou plusieurs de ces NFT’s, sans savoir le(s)quel(s) nous allons devenir l’heureux propriétaire. Puis vient la découverte, et donc la recherche de l’éventuelle rareté de l’œuvre. Il existe d’ailleurs des outils pour ça, dont le précieux Rarity tools.

Un échantillon de NFT’s collectibles stars | @Cryptokitties @Meebits @BoredApeYachtClub @Cryptopunks

Mais alors pourquoi cet engouement, engendrant un tel volume de transactions ?

La réponse est intrinsèquement liée à la nature même des NFT’s : l’unicité du smart contract, le certificat d’authenticité.

En découle tout l’attrait accordé à ces petites images pixelisées par la communauté cryptogeek. Chacune d’entre elle est unique, grâce à la technologie smart contract sur la blockchain. Par conséquent lorsque les attributs aléatoires de l’œuvre sont rares, l’œuvre devient unique ET rare.

Ajoutons à cela la recette merveilleuse de toutes cartes à collectionner : un nombre limité d’items, une échelle de rareté ainsi qu’un ingrédient addictif: le drop aléatoire. Cela donne aujourd’hui cette frénésie autour des NFT’s collectibles.

Beaucoup d’équipes tentent des lancements de collections, et en face la demande est forte, donc beaucoup d’internautes se lancent dans la course aux NFT qui leur feront gagner de belles sommes en cryptomonnaies !

Nous pouvons également citer ici l’exemple de Sorare, qui entre dans la catégorie des collectibles car, de prime abord, il s’agit purement et simplement d’un jeu de cartes à collectionner, dans l’univers football. Notons tout de même que Sorare entre également dans une autre catégorie de NFT dont nous parlerons plus loin dans cet article: les jeux en ligne.

Les jeux vidéos

Les jeux vidéos liés aux NFT’s sont un peu moins sur le devant de la scène que les collectibles.

Il s’agit pourtant d’une catégorie incontournable, ayant un gigantesque potentiel et un avenir radieux.

Nous allons ici distinguer deux sous catégories de NFT’s liés aux jeux vidéos :

  • Les items pour jeux vidéos,
  • Les jeux vidéos play-to-earn.

Les NFT’s items de jeux vidéos

Cette sous catégorie de NFT’s représente toute œuvre ou « objet numérique » qui peut-être utilisé dans un jeu vidéo.

Il existe déjà ce genre d’items dans le monde du gaming depuis fort longtemps, qu’il s’agisse de skin ou d’armes par exemple, que l’on gagne ou achète dans le jeu.

La différence se situe une fois de plus dans la technologie même des NFT’s. En effet, grâce au smart contract, les créateurs d’items rendent unique un item donné, et ce même item unique n’aura qu’un seul propriétaire. Tout cela gravé sur le contrat du NFT.

Avant, tout le monde pouvait se procurer un skin ou une arme rares, en les farmant (réussite d’une quête par exemple) ou en les achetant sur la boutique du jeu, avec un nombre de propriétaires illimités.

Avec les NFT’s il en est tout autre : les développeurs peuvent créer une collection unique d’items, plus ou moins rares, numérotés et datés. Et le smart contract donnera au propriétaire, non seulement la preuve de cette authenticité, mais en plus la possibilité unique de l’utiliser dans le jeu.

Notons en plus de cela une prouesse technique dorénavant possible : un NFT item peut très bien, à condition que des développeurs l’intègrent, être utilisé dans un jeu vidéo totalement différent et étranger à celui d’origine. Cela créé des possibilités infinies dans le monde du jeu vidéo !

Les jeux vidéos play-to-earn

Le play-to-earn, le gros poisson du potentiel NFT.

Il est le symbole, ou du moins une des représentations phares du web 3.0 : le web de la valeur, le web « intelligent ».

Qu’est ce que le play-to-earn ?

Sommairement, il s’agit de jouer à un jeu vidéo et d’y gagner de l’argent, sous forme de cryptomonnaie plus précisément. La traduction de play-to-earn est très explicite : « jouer pour gagner » (de l’argent).

Dans le détail voici comment le play-to-earn peut se dérouler :

Il faut tout d’abord s’inscrire sur la plateforme du jeu en ligne choisi. Puis obtenir par exemple un personnage, une équipe, ou autre, le plus souvent en investissant une somme de départ donc. Ensuite grâce à cet achat de personnage ou équipe (qui sont des NFT’s bien sûr 😁) on peut commencer à jouer. Le jeu peu consister en la réalisation de quêtes, de missions ou de combats contre l’IA ou contre d’autres joueurs.

Toutes ces actions sont susceptibles de faire gagner des tokens (des jetons en cryptomonnaie) du jeu en question. C’est ensuite selon la valeur du token concerné ou l’échange direct de celui-ci dans une autre cryptomonnaie, que l’on peut estimer, en général en dollars, la somme gagnée, en une journée, une semaine, un mois, etc…

Un des play-to-earn les plus célèbres et joués est Axie Infinity, jeu de combat stratégique avec des petits personnages fictifs par équipe de trois.

Marketplace Axie Infinity
Quelques personnages à vendre sur le marketplace Axie Infinity

On retrouve également dans cette catégorie un autre type de NFT dont nous avons déjà parlé plus haut : Sorare.

Souvenez vous, le jeu de cartes de football à collectionner… c’est également un jeu en ligne de type play-to-earn.

En effet, grâce aux cartes en notre possession il est possible de former des équipes (de 5), puis de disputer des matchs fictifs contre un autre joueur. Et tout ça en lien même avec les performances des joueurs réels, rien que ça !

Nous voyons bien ici que les différents types de NFT sont susceptibles de s’entrecroiser en fonction de leur spécificité.

La catégorie NFT des play-to-earn est en pleine expansion, tout en en étant qu’à ses balbutiements. Il existe une multitude de projets, dont beaucoup sont très intéressants et méritent notre attention. A ce titre cette catégorie de NFT fera très prochainement l’objet d’un article complet.

La catégorie Métavers

La catégorie NFT Métavers ou Metaverse en anglais, est une catégorie à la fois très spécifique et à la croisée d’autres types.

Un metaverse, contraction anglophone de meta universe, est un monde virtuel fictif.

Un exemple connu de metaverse dans le monde cinématographique est le film Ready Player One. Le scénario se déroule dans un monde post-apocalyptique où certains ont un avatar dans un monde virtuel connecté et y évolue comme dans la vraie vie.

Illustration du film Ready Player One
Wade Watts alias Parzival, héros du film Ready Player One | @Lifestyle pictures / @Alamy Stock Photo

Ok, que viennent faire les NFT’s dans tout ça ?

Vous vous souvenez, NFT = certificat d’authenticité et de propriété.

Mondes virtuels, certificats de propriété, vous y êtes ? 💥

La technologie NFT permet une multitude de possibilités dans les metaverse, et notamment de rendre un avatar ou joueur propriétaire de tel objet, telle parcelle de terrain virtuel, etc…

Il existe déjà de nombreux projets, plus ou moins avancés, liant NFT’s et metaverse. Nous pouvons citer un des plus célèbres : Decentraland.

Decentraland est un metaverse, créé à l’origine en 2015, dans lequel on peut acheter des parcelles (en NFT of course) et y construire ce que l’ont veut. Decentraland a aujourd’hui son propre token (MANA) et la moindre parcelle se vend des dizaines de milliers de MANA (3$ le MANA à l’heure où j’écris).

Carte Decentraland
Carte d’achat de parcelles Decentraland

Nous sommes bien en présence d’une catégorie NFT transverse, car nous sommes ici à la croisée de l’univers du jeu vidéo, des play-to-earn et des marchés crypto.

Les metaverse ont un potentiel économique gargantuesque, tout est à créer, et certains l’ont bien compris. A l’instar de Mark Zuckerberg, qui a annoncé récemment le changement de nom de la société Facebook, devenant Meta, et par là même sa nouvelle stratégie : le développement d’un metaverse à l’échelle mondiale.

Pour en savoir plus vous pouvez consulter mon article complet sur les metaverses.

Les extensions et noms de domaine NFT

Les extensions de domaine NFT

Toujours dans l’esprit « décentralisé » , propre à la culture blockchain, il est possible d’acquérir des extensions de domaines. En effet les extensions DNS classiques (.com, .fr, .org, etc…) disponibles sur le marché, appartiennent à des entreprises, des organisations ou des pays.

Grâce à la technologie des NFT’s et de la blockchain il est maintenant tout à fait possible d’acquérir sa propre extension. Ce qui me permettrait par exemple de pouvoir nommer ce site cercle-nft.nft. Je précise que je ne peux actuellement me faire ce plaisir car un investisseur a acheté l’extension .nft pour la modique somme de 84000 dollars !

Les noms de domaine NFT

Sur le même principe, il est possible d’acquérir via un smart contract un nom de domaine. C’est en quelque sorte le second niveau de domaine. Le premier étant l’extension.

Une fois qu’un acheteur devient propriétaire d’une extension, .nft par exemple, il peut, soit l’utiliser à des fins personnelles, soit ouvrir à la commercialisation des noms de domaines associés à l’extension .nft.

Cela a été le cas pour l’extension .crypto, dont les noms de domaines se sont arrachés à prix d’or lors de la commercialisation sur le site Unstoppable domains.

Ces noms de domaines ont plusieurs utilités (autre qu’être hautement stylés 😎) :

  • Ils peuvent servir à la création de sites webs décentralisés.
  • Ils sont utilisables en tant qu’adresses de portefeuille crypto (en remplacement du long code illisible).
  • Vous en êtes le propriétaire et le conservez comme tout NFT, ce qui veut dire pas de frais de renouvellement.
  • Il est tout à fait possible d’y transférer un domaine classique déjà existant.

Il existe certainement encore d’autres possibilités d’utilisation de ces NFT’s, car comme d’autres catégories celle-ci a également beaucoup de potentiel, et donc de valeur.

Page d'accueil Unstoppable domains
La page d’accueil d’Unstoppable domains parle d’elle-même…

Les NFT’s dans la catégorie musique 🎼

Qu’est ce que les tokens non fongibles viennent faire dans l’industrie musicale ?

Selon certains experts : la Révolution, rien que ça !

Et rien d’étonnant en réalité. Il est admis aujourd’hui que l’industrie de la musique est une gigantesque usine engorgée d’intermédiaires, qui s’attribuent la part belle des artistes. Ces derniers peinant, pour beaucoup d’entre-eux, à en vivre décemment.

Une fois de plus la blockchain et les smart contracts viennent bousculer les codes et les colosses de l’économie mondiale. Grâce aux NFT’s, le circuit est réduit à son strict minimum : l’artiste, une plateforme musicale NFT et des acheteurs.

Certains projets ont d’ores et déjà vu le jour, et un des plus importants actuellement est français ! 🇫🇷 🐓 Je vous en parle de ce pas :

La plateforme musicale NFT Pianity

age d'accueil de la plateforme musicale NFT Pianity
Page d’accueil de la plateforme musicale NFT Pianity

Pianity est la première plateforme musicale NFT française.

Sur Pianity les fans et collectionneurs peuvent acheter directement des morceaux certifiés de leurs artistes, sans aucun intermédiaire. Un des objectifs principaux est bien entendu d’assurer une rémunération plus juste pour les artistes.

L’équipe de Pianity souhaite également démocratiser les NFT’s au delà de la cryptosphère. Pour cela ils ont rendu leur plateforme intuitive, accessible et il est possible d’acquérir des NFT’s musicaux aussi bien en euros avec une carte bancaire qu’en cryptomonnaie avec un wallet.

Je n’entrerais pas plus dans les détails de Pianity car ce n’est pas le but de cet article, je prépare en revanche pour bientôt un article complet sut ce très beau projet français 👀.

Le potentiel des NFT’s dans la musique

Comme nous l’avons vu avec l’exemple de Pianity, les NFT’s peuvent s’exprimer dans l’industrie musicale en supprimant les intermédiaires et donc en assurant une meilleure rémunération des artistes.

Mais ce n’est pas tout (of course).

Les artistes ont devant eux une technologie au potentiel créatif illimité, et notamment en matière d’exclusivité. C’est l’essence même des NFT’s et de la blockchain : stocker et tracer des certificats d’authenticité. A partir de ça on peut tout imaginer : devenir propriétaire du premier clip des Rolling Stones, de tel morceau exclusif de Booba en quantité limitée ou encore des places VIP exclusives pour le prochain concert de Mariah Carey !

Les NFT’s dits « utilitaires »

Au sein des différents types de NFT nous pouvons aussi sortir du concept artistique. En effet le non-fungible token est avant tout une technologie : un smart contract authentifié dans une blockchain.

A ce titre ses utilisations sont multiples et nombre d’activités s’approprie d’ores et déjà les possibilités offertes par les NFT’s.

Évènementiel

Dans le monde de l’évènementiel il est tout à fait possible de distribuer des tickets d’entrée ou places de concert sous forme de NFT’s, et donc authentifiés.

Un projet intéressant (et français) nommé Participate a vu le jour dans l’évènementiel. La plateforme Participate propose à ses utilisateurs de créer, organiser, diffuser et partager des évènements. Des NFT’s sont générés durant l’évènement par l’ensemble des parties et permettent d’en mesurer leur notoriété. Les plus pertinents d’entre eux feront l’objet de transaction(s), rémunérant ainsi les parties prenantes de l’évènement.

Identité

Les NFT’s pourraient parfaitement être utilisés pour prouver l’identité d’une personne, de manière sécurisée et décentralisée.

En ce qui concerne le monde virtuel, les métavers, dont nous avons déjà parlé, l’identité d’un avatar est bien évidemment acquise et authentifiée via la technologie NFT.

Traçabilité

Les jetons NFT présentent un profil idéal de traçabilité sécurisée et authentique. Différentes entreprises utilisent déjà cette technologie à des fins logistiques.

Citons l’exemple de Cdiscount qui, en partenariat avec la start-up française Ownest, assure la traçabilité des ses expéditions via des NFT’s.

Tweet du journaliste @Grégory Raymond annonçant le partenariat Cdiscount x Ownest

Nous pouvons également citer dans cette catégorie l’utilisation de certificats d’authenticité en NFT et donc sur la blockchain par des grandes marques de l’industrie de la mode comme LVMH, Nike ou Satoshi.

Une dernière petite catégorie : les memes.

Et oui, les stars de l’humour 2.0, nos chers memes, sont très appréciés par des millions d’internautes. Par conséquent il fallait bien qu’ils puissent être monétisés un jour ou l’autre. Et tant mieux, car certains sont vraiment hilarants et méritent leur part du gâteau !

A titre d’exemple, le célèbre meme « Side eyeing Chloe » a été acquis par une entreprise dubaïote, pour la modique somme de 25 ETH, soit environ 74 000 dollars au moment de la transaction.

Meme Side eyeing Chloe
Quand ton boss achète un meme 74 000 $ | @Sideeyeingchloe

Résumé des différents types de NFT

Nous avons vu qu’il existait à ce jour différentes catégories de NFT et surtout que celles-ci pouvaient s’entrecroiser selon leur utilisation.

Faisons un rapide rappel des différents types de NFT présentés dans cet article :

  1. Artwork : les œuvres d’art digital (dessin, paintart, 3D etc…)
  2. Collectibles : la catégorie buzz du monde NFT, qui représente tous les NFT’s collectionnables.
  3. Jeux vidéos : vaste catégorie au très fort potentiel qui inclue aussi les jeux en eux-mêmes (play-to-earn) que les items à acquérir dans le monde du gaming.
  4. Métavers : metaverse en anglais, des mondes virtuels fictifs dans lequel on acquiert des NFT’s sous forme de terrains, d’avatars et d’objets divers.
  5. Extensions et noms de domaine : la possibilité d’être propriétaire sur la blockchain d’un nom de domaine ou d’une extension hors DNS classiques (.com ou .fr par exemple).
  6. Musique : la révolution de l’industrie musicale grâce à la réduction des intermédiaires : nous pouvons désormais décider de rémunérer directement nos artistes préférés.
  7. Utilitaires : la plus grande des catégories, au potentiel infini : évènementiel, logistique, traçabilité… et encore beaucoup d’autres à venir.
  8. Memes : l’humour geek par excellence se vend désormais en NFT.

Cette liste non exhaustive représente déjà le fabuleux potentiel de la technologie numérique NFT et blockchain.

Beaucoup de projets voient le jour chaque semaine, certains d’entre eux iront au bout de leurs objectifs et participeront à la révolution de l’Internet 3.0 .

Et vous, à quelle(s) catégorie(s) appartient votre projet ? Un de celles-ci ? Une nouvelle ?

N’hésitez pas à partager en commentaire vos projets !

A très vite dans le Cercle NFT !

Je vous invite à poursuivre en découvrant mon article complet sur les METAVERSES 👈

2 réflexions sur « Les différents types de NFT »

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